Ah, le pain au chocolat, faut qu’on en parle sérieusement ! Franchement, y’a pas photo : “pain au chocolat”, c’est comme ça qu’il faut l’appeler, point barre. “Chocolatine”, c’est quoi ce délire ? Sérieux, on n’est pas là pour débattre, le nom officiel, c’est “pain au chocolat”. Voilà, c’est dit.
Imagine-toi, tu débarques dans une boulangerie à Paris, et tu demandes une “chocolatine”. Le boulanger te regarde bizarrement, genre t’es tombé de la lune. Alors que si tu demandes un “pain au chocolat”, bim, il te file direct la petite merveille croustillante et chocolatée. C’est clair, net et précis.
En vrai, “chocolatine”, ça fait un peu extraterrestre. On dirait un truc sorti de nulle part. Alors que “pain au chocolat”, ça claque, ça te dit exactement ce que tu vas bouffer : un pain, du chocolat. Simple, basique. Même un gamin de cinq ans comprend.
Et puis, c’est un peu une question de respect. Les boulangers, ils se cassent la tête pour te sortir des pains au chocolat de ouf, bien dorés, bien feuilletés. C’est pas pour que tu viennes gâcher ça avec un mot chelou. On parle de tradition, de savoir-faire, tout ça. Faut pas déconner.
Alors ouais, “chocolatine”, c’est marrant deux secondes, mais ça s’arrête là. Restons sérieux : pain au chocolat forever ! Parce que quand tu croques dans ce truc-là, que le chocolat fond dans ta bouche et que le feuilletage croustille sous tes dents, t’as juste envie de dire : merci la vie, merci la boulangerie française !
Alors voilà, pas de chichi, pas de débat stérile. La seule et unique façon de dire, c’est “pain au chocolat”. Et si quelqu’un te sort encore “chocolatine”, ben tu peux rigoler et lui expliquer gentiment la vraie vie. Allez, bon app’ les amis, et longue vie au pain au chocolat !
Story time !
Quand j’étais ado on a déménagé et c’est là que j’entendis parlé de chocolatine pour la première fois. Je me suis dit “Chocolatine ?! C’est quoi ? Ça a l’air méga-délicieux !”. Je me rends dans une boulangerie et je demande avec beaucoup d’excitation “une chocolatine s’il vous plaît”. La boulangère me donne un pain au chocolat… Après un court moment de confusion, et un peu déçu, je m’en vais me consoler en mangeant ce pain au chocolat qui était tout de même vachement bon.
Ah, le pain au chocolat, faut qu’on en parle sérieusement ! Franchement, y’a pas photo : “pain au chocolat”, c’est comme ça qu’il faut l’appeler, point barre. “Chocolatine”, c’est quoi ce délire ? Sérieux, on n’est pas là pour débattre, le nom officiel, c’est “pain au chocolat”. Voilà, c’est dit.
Imagine-toi, tu débarques dans une boulangerie à Paris, et tu demandes une “chocolatine”. Le boulanger te regarde bizarrement, genre t’es tombé de la lune. Alors que si tu demandes un “pain au chocolat”, bim, il te file direct la petite merveille croustillante et chocolatée. C’est clair, net et précis.
En vrai, “chocolatine”, ça fait un peu extraterrestre. On dirait un truc sorti de nulle part. Alors que “pain au chocolat”, ça claque, ça te dit exactement ce que tu vas bouffer : un pain, du chocolat. Simple, basique. Même un gamin de cinq ans comprend.
Et puis, c’est un peu une question de respect. Les boulangers, ils se cassent la tête pour te sortir des pains au chocolat de ouf, bien dorés, bien feuilletés. C’est pas pour que tu viennes gâcher ça avec un mot chelou. On parle de tradition, de savoir-faire, tout ça. Faut pas déconner.
Alors ouais, “chocolatine”, c’est marrant deux secondes, mais ça s’arrête là. Restons sérieux : pain au chocolat forever ! Parce que quand tu croques dans ce truc-là, que le chocolat fond dans ta bouche et que le feuilletage croustille sous tes dents, t’as juste envie de dire : merci la vie, merci la boulangerie française !
Alors voilà, pas de chichi, pas de débat stérile. La seule et unique façon de dire, c’est “pain au chocolat”. Et si quelqu’un te sort encore “chocolatine”, ben tu peux rigoler et lui expliquer gentiment la vraie vie. Allez, bon app’ les amis, et longue vie au pain au chocolat !
Story time ! Quand j’étais ado on a déménagé et c’est là que j’entendis parlé de chocolatine pour la première fois. Je me suis dit “Chocolatine ?! C’est quoi ? Ça a l’air méga-délicieux !”. Je me rends dans une boulangerie et je demande avec beaucoup d’excitation “une chocolatine s’il vous plaît”. La boulangère me donne un pain au chocolat… Après un court moment de confusion, et un peu déçu, je m’en vais me consoler en mangeant ce pain au chocolat qui était tout de même vachement bon.
C’est exactement de ça que je parle, bordel!!!
C’est une référence à autre chose ou c’est premier degré ? Si c’est le dernier, tu ne vas pas te faire que des amis
yo mama